Tout savoir sur le minimalisme (guide 2024)

minimalisme

Dans une société de consommation de plus en plus accaparante, le minimalisme apparaît aujourd’hui comme une évidence pour consommer moins, mais consommer mieux. Résolument moderne, la définition du less is more ou moins est plus prend tout son sens en tentant d’approcher au plus près la question essentielle de savoir de quoi avons-nous réellement besoin. Un domaine ô combien passionnant, et permettant de chercher une forme plus absolue du sens de la liberté, du bonheur, du temps et sa disponibilité. Découvrez vous aussi en quoi consiste le minimalisme, et optimisez votre mode de vie.

C’est quoi le minimalisme ?

Le minimalisme est un mouvement de pensée encourageant à se focaliser sur l’aspect fonctionnel et essentiel de l’environnement. Le minimalisme est une vision que nous retrouvons dans trois grands domaines de l’existence :

  • en tant que style de vie,
  • en philosophie,
  • et en art.

Dans chacun d’entre eux, la pensée minimaliste encourage à la simplicité, à l’efficacité, à la recherche d’un fondamentalisme, et à la quête d’un certain idéal de vie dépossédé des chaînes de la surconsommation.

Pourquoi devenir minimaliste ?

Le minimalisme répond à un besoin de ressourcement, en adoptant un mode de pensée visant à réduire l’impact engendré par la sur sollicitation dans le quotidien moyen du citoyen moderne. Abondance des médias, des écrans, des loisirs, pression des responsabilités professionnelles, des tâches ménagères et de la vie courante, le minimalisme se présente comme une réponse contre-intuitive aux multiplications des besoins de la société de consommation, alors que le temps, lui, n’est pas extensible.

Mais en réalité, nous avons tous en nous une part de minimalisme. Il ne s’exprime simplement pas de la même façon d’un individu à l’autre ni avec la même intensité. Ce simple besoin de ranger son bureau, sur un coup de tête chez la personne lambda, est déjà une forme d’état minimaliste. Mais chez la personne consciente, ayant une approche volontaire du minimalisme autour d’elle, ce désir a généralement plusieurs origines de motivations :

1 – Un gain en clarté mental et en temps

Bureau minimaliste

Être plus lucide, gagner en inspiration, en organisation, en rapidité, la clarté mentale est souvent la première source de motivation pour adopter une approche minimaliste. C’est une force inestimable dans le travail ou dans vos projets pour gagner en efficacité, en facilitant la prise de distance ainsi que les priorités à adopter.

En d’autres termes, le minimalisme est une arme redoutable pour favoriser le Flow, soit l’atteinte d’un état optimal de concentration. Un phénomène bien connu des entrepreneurs, mais qui s’applique absolument partout, dans les métiers manuels et cérébraux.

2 – Le minimalisme comme source de bonheur personnel

En incitant à se tourner vers l’essentiel dans la vie, dans le rapport aux objets, mais aussi vis-à-vis de certaines relations qui ne sont en fait que des habitudes languissantes, l’approche minimaliste permet une réelle baisse du stress, des dépendances, et d’un épanouissement personnel bien plus grand. Cela grâce au temps libéré par le détachement, qui permet de consacrer plus d’énergie dans ce qui apporte une réelle satisfaction vertueuse.

3 – Une sensibilité environnementale

Une photo représentant le minimalisme

Un mode de vie minimaliste rime aussi avec un meilleur rapport à la consommation. C’est une autre des facettes positives de ce courant, qui lutte contre l’impact négatif de la surproduction, à l’origine de la dégradation de l’environnement et de l’augmentation de la quantité des déchets. Le minimalisme invite au contraire, à réfléchir avant d’acheter pour ne garder que l’essentiel, à contre-courant du consumérisme ambiant.

4 – Favoriser l’expérience à la possession de biens

Les minimalistes vous le diront souvent, ils préfèrent aussi l’expérience et le mouvement à l’entassement d’objets. Cela peut se traduire par une tendance à favoriser l’acquisition de services, de voyages (parfois même faire des slows travels) et de sorties lorsqu’il est question de consommer plutôt que de biens matériels.

5 – Une démarche économique

Adopter un mode de consommation dans une logique minimaliste permet de limiter voire supprimer les dépenses inutiles. Une excellente approche pour mieux épargner, voire de se faire une bonne pièce en revendant quelques biens poussiéreux.

6 – Moins de responsabilités, plus de libertés

Le minimalisme offre une forte de liberté.

Une meilleure autonomie, une plus grande mobilité, se déposséder de biens matériels non essentiels c’est aussi la possibilité d’être plus flexible et à même de réagir en cas de bouleversements extérieurs. Le minimalisme offre cette liberté de déménager facilement, mais aussi plus souvent si cela fait partie du mode de vie adopté, voire même de se libérer de la propriété.

7 – Art minimal, une sensibilité à part entière

Eh oui. Parfois, le minimaliste est aussi simplement pris d’affection pour l’esthétique et les beaux-arts qui découlent de cette vision du monde qui a inspiré, même sans le savoir, de nombreux artistes. Techno Dub à la Basic Channel semblant venir d’un autre monde, et même en architecture, je suis personnellement toujours en fascination devant les lignes postmodernistes d’un Ricardo Bofill, et plus généralement de la créativité des grands ensembles et les objets parvenant à exprimer leurs beautés par la simplicité.

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Les 5 grandes étapes pour devenir minimaliste

Maintenant que vous connaissez les avantages d’un mode de vie minimaliste, faut-il encore savoir en quoi consiste-t-il, dans les faits. Et à ce sujet, nous avons remarqué que le terme faisait encore peur pour une partie du grand public. Vous-même, si vous ne connaissiez pas encore l’existence du minimalisme en tant que tel, peut-être que votre jugement sur celui-ci est resté figé sur de vieux poncifs. Comme celui jouant sur les peurs de devoir se délester de bijoux de famille, ou encore de devoir dire adieu à son salon, ses meubles et ses chats !

Alors, rassurez-vous, dans les faits rien n’est de tel. Les objets dits  » souvenirs et à valeur sentimentale » sont même les derniers à être triés. Et pour ce qui est des excès, des contradictions entre telles et telles méthodes, des critiques envers Marie Kondo et des conseils que tout minimaliste souhaite mettre en avant, dites-vous bien que comme dans toutes pratiques, il y a différentes écoles pour différentes formes d’usages dans les faits. Ici, nous mettons l’accent sur une approche méthodique, douce et progressive, pour réussir à coup sûr à devenir minimalistes en 5 grandes étapes. Voyez le positif : un peu de rangement fait toujours du bien.

Étape 1 : la prise de conscience

Lorsque nous parlons de mode de vie avec le minimalisme, dites-vous bien que celui-ci ne survient pas par hasard dans la vie de ceux qui l’ont adopté. Il y a souvent eu un ensemble de signes qui sont survenus, mentalement, pour leur signaler qu’un changement était nécessaire dans leurs vies, et que le minimalisme était une forme de réponse à celui-ci pour avancer positivement.

Vous aussi, prêtez attention à ces signes qui indiquent qu’une remise en question vers le minimalisme pourrait vous faire le plus grand bien. Le fait que vous soyez en train de lire cette page est déjà l’un d’entre deux. Voici ceux à ne pas ignorer qui peuvent indiquer que le minimalisme est peut-être en train de se présenter à vous comme une aide :

1 – Sentiment d’encombrement

Le plus commun des signaux à se manifester indiquant qu’un mode de vie minimaliste pourrait être bénéfique, n’est autre que la sensation d’un état d’encombrement physique et mental. Un encombrement dans le domicile, qui devient moins accueillant, qui prend la poussière, qui devient difficile à entretenir et moins ressourçant, est en général un grand indicateur. Et un encombrement mental, dans la vie en générale, allant de pair avec des tâches qui s’empilent sans que le temps ne s’étende proportionnellement.

2 – État d’insécurité et d’anxiété

Lorsqu’un stress est installé sur la durée, c’est bien souvent que vous accordez plus d’importance aux problèmes qu’aux solutions. Si en réponse l’idée de vouloir faire le vide autour de vous commence alors à germer, il y a fort à parier pour que vous puissiez trouver des solutions dans l’approche minimaliste, qui conduit à retrouver une forme d’énergie en votre for intérieur pour la redistribuer dans ce qui est important.

3 – Une recherche de sens dans la vie

Le désir de devenir minimaliste est aussi très souvent corrélé à une période de remise en question existentielle. Est-ce que je possède réellement mes biens matériels ou bien ce sont eux qui me possèdent ? Est-ce que j’en tire une réelle satisfaction ? De quoi ai-je réellement besoin pour être heureux ? La recherche de ce qui est essentiel au bonheur, et de ce qui ne l’est pas, est un signe fort du chemin vers le minimalisme.

4 – Une tendance à l’optimisation

Enfin, vous remarquez de temps à autre, une certaine appétence pour l’ordre et le rejet du superflu. Des petits réflexes que vous n’aviez pas avant, comme préférer l’utilisation d’un seul stylo au lieu de lots entiers, ou encore l’idée de remettre en question certaines habitudes pour gagner du temps dans votre journée. Ce sont des signaux forts indiquant que vous êtes sur le point d’accueillir plus de minimalisme dans votre vie !

Étape 2 : découvrir les 6 principes fondamentaux du minimalisme

Avant de commencer à faire place au grand ménage de votre intérieur, prenez connaissance des grands principes fondamentaux pour réussir cette transformation. Le minimalisme n’est en rien compliqué. Mais ces quelques notions sont essentielles à connaître et appliquer avant de passer à l’action :

Il n’y a pas de « Au cas ou »

Dans le minimalisme, il n’y a pas de « au cas ou ». Votre environnement doit être soit fonctionnel et source plaisir dans le présent. Alors sauf exception comme nous verrons par la suite, la pensée limitante « au cas ou » est à proscrire. Si vous aviez oublié l’existence depuis des années de quelque chose, dites-vous bien que ce « quelque chose » n’a que très peu, voire aucune chance d’être indispensable. Donc, n’ayez plus peur de jeter cette robe, au cas où la mode reviendrait. Ou même ces vieux boutons de rechanges ! Car si vous deviez raccommoder votre chemisier, le retoucheur en aura des centaines tout aussi bien à vous présenter le moment venu.

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La nécessité de trier avant de ranger

Un détail qui coule de sens, mais ranger votre chez-vous sans trier au préalable équivaudrait à laver du linge dans une eau sale. Pour adopter un mode de vie minimaliste, on tri en premier, et on range en second.

Le minimalisme est démarche solitaire

Le minimalisme est une démarche ô combien personnelle ! Pendant votre rangement, il n’est pas recommandé de s’entourer d’autres personnes comme votre partenaire ni de membres de votre famille. Le risque serait d’être trop fortement influencé et de garder finalement trop d’objets. L’expérience serait gâchée, voire même sujette par la même occasion à quelques disputes.

Aussi, ne vous comparez jamais aux autres minimalistes. Certains d’entre eux peuvent aller jusqu’à vivre sans lits, et avec dix objets autour d’eux. Mais ce n’est peut-être pas votre objectif. Alors, respectez vos propres valeurs, car dans le mode de vie minimaliste, il y a de la place pour tout le monde.

Trouver son rythme

À chaque jour suffit sa peine. Pour désencombrer, il est conseillé de s’attaquer au rangement pièce par pièce. Un jour la cuisine, un jour la salle de bain, un jour la cave, et ainsi de suite. Voir même, d’opter pour des zones comme un placard, ou un meuble. Privilégiez toujours la qualité à la quantité des espaces que vous libérez. Enfin, trouvez votre rythme. Il est de bon ton de mettre un gros coup de collier pour instaurer un véritable changement initial par un gros débarras. Mais le minimalisme est ensuite une habitude pouvant s’installer au quotidien, que rien n’empêche de vider certaines zones au moment venu.

Sortez tout des placards

La visualisation est très importante pour faire peau neuve dans votre maison. Sortez tous des placards ! Si vous décidez par exemple de trier la penderie aujourd’hui, alors sortez tous les manteaux et placez-les au milieu de la pièce. Cela aura pour effet de vous faire rendre compte de la quantité insoupçonnée de place qu’occupent les objets et ainsi favoriser le détachement.

Ne cérébralisez pas la séparation de vos biens

Se séparer de ce que l’on accumule, inconsciemment, n’est pas une démarche intuitive. Comme le gras dans le corps, le vivant a plutôt tendance à vouloir stocker ce qu’il ingère. Et quand vient le moment du régime, les débuts peuvent être difficiles, mais les résultats eux, en valent la chandelle. Alors, n’ayez pas peur et rationalisez : les objets, comme tout, peuvent avoir un début et une fin. Cette vision des choses devient de plus en plus simple et évidente à mesure que s’installe ce mode de vie.

Étape 3 : Comment savoir quoi garder et quoi jeter de façon minimaliste

Quoi jeter, quoi garder, il existe différentes approches à cette question déterminante lorsque vous prenez part à votre premier grand désencombrement. Car si tous les minimalistes sans exception s’accordent pour dire qu’un environnement rangé, épuré et fonctionnel est la garantie d’un gain de temps, d’argent, d’espace et de liberté, les méthodes pour discerner l’essentiel du superflu peuvent varier.

Prendre chaque objet en main

L’une des principales techniques, bien connue des minimalistes, consiste à prendre chacun des objets en main. Et cela, un à un, pour chacun d’entre eux. Ce processus a pour effet de ressentir ou non, si l’objet ainsi tenu procure une sensation de joie. Qu’est-ce que cette joie ? Il est question d’un sourire, d’une sensation de bien-être, d’un sursaut même, au moment de toucher l’objet.

Dans le cas contraire, l’absence d’émotions, des grimaces, ou simplement de petits signes de rejets très subtils comme ce pull « qui gratte » sont de bons indicateurs.

Fréquence d’utilisation

Première question à se poser, et l’une des plus simples, est-ce que j’utilise cet objet ? Si la réponse est quotidiennement ou très fréquemment, gardez-le. Dans le cas contraire, occasionnellement, une fois par an ou jamais, il faudra réfléchir. Ce moule à tarte qui traîne au fond d’un tiroir de cuisine, si vous ne faites pas de gâteaux, rien ne sert de le garder.

Les doublons

Inutile de conserver des objets partageant les mêmes fonctions, ou dont l’utilité d’un seul peut couvrir l’utilisation de plusieurs autres. Pourquoi laisser dormir au fond d’un pot pléthore de crayons, alors qu’un unique stylo est en mesure de remplir la fonction d’écrire sur une feuille. Dans une autre logique, demandez-vous s’il n’est pas possible de réaliser la même tâche avec un seul objet plutôt que plusieurs. Un simple savon peut ainsi à la fois servir de gel douche, mais aussi efficacement de crème à raser.

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L’état et la condition de conservation

Quelque chose de cassé, troué, non réparable est généralement à proscrire dans le minimalisme. Il est admis au contraire, qu’il est de bon ton pour cultiver les bonnes ondes, de ne s’entourer que d’objets en bon état. Les objets cassés sont les plus simples à discerner !

Le gain d’espace

Pour tendre vers un habitat plus fonctionnel, il faut aussi anticiper le gain de place désiré. Si des meubles, des chaises, des tables peuvent par exemple être évacués, tout comme ce vélo d’appartement utilisé les trois premiers jours cinq ans auparavant, alors c’est autant d’espace libéré pour gagner en mobilité et ne pas encombrer le champ visuel.

Avais-je oublié cet objet ?

Vous triez un placard, une boîte quelconque et vous retombez sur une trouvaille dont vous aviez oublié l’existence. Il n’y a généralement pas de place pour le doute dans ce cas de figure, il est généralement assez simple de se séparer des biens qui ne faisaient même plus partie des souvenirs.

La valeur sentimentale

Par opposition à l’utilité, la valeur sentimentale est le critère qui viendra influencer tous les autres exemples cités précédemment. C’est probablement la question la plus compliquée dans le cheminement minimaliste, car parfois, abandonner des objets chargés en souvenirs peut prendre la dimension d’un deuil. La prudence est de mise et gare aux articles et discours des minimalistes les plus extrêmes sur ce terrain. Oui, les souvenirs n’ont pas nécessairement besoin d’objets pour exister, mais des compromis très efficaces existent pour gérer vos vieux objets d’enfance et de famille. Nous aborderons cette question plus en détail par la suite.

Étape 4 : Les 5 grandes catégories d’objets à trier en minimalisme

Nous y sommes, attaquons le dur sujet. Minimalisme rime évidemment avec un cadre de vie soigné. Il va falloir trier une bonne fois pour toutes, alors place au désencombrement ! Mais, pas n’importe comment, car dans une démarche minimaliste, il est conseillé d’effectuer le premier grand rangement selon un ordre de difficulté, du plus simple au plus compliqué.

Marie Kondo propose un système intéressant pour répondre à cette question, en commençant par les vêtements, les livres et supports multimédias, les papiers, les objets divers, puis enfin le plus dur, en terminant par les biens sentimeux et souvenirs.

Ce rangement s’effectuera pièces par pièce. Si vous optez pour la cuisine, prenez votre temps libre sur une journée pour vous consacrer à cette pièce. Puis un autre jour, le salon, une chambre, un couloir, la cave, la salle à manger, ou encore la buanderie.

Étape 5 : fixer la limite au minimalisme

Comme nous le disions, il existe différentes politiques en termes de minimalisme et il est important de mesurer quelle limite vous souhaitez apporter à votre démarche. Certains minimalistes ne recherchent pas une démarche de frugalité et peuvent très bien envisager de vivre avec de nombreux objets, des collections, à travers lesquelles ils reçoivent énergie et plaisir. Alors qu’au contraire chez d’autres, un environnement débarrassé de tout artifice, des étagères épurées de toutes fioritures, une optimisation optimale d’un cadre de vie le plus vide possible trouvera un sens. Pour les plus avancés, il est même possible de réduire au minimum la possession de meubles et objets à un nombre drastique, sur les doigts des deux mains, dans un objectif purement fonctionnel. Toutes les solutions peuvent trouver leurs places. À vous de trouver votre voie, mais attention au sentiment d’insatisfaction persistant.

N’oubliez pas le plus important pour finir : un objet équivaut à une place pour tous les minimalistes. Conserver vos bonnes habitudes est bien plus utile que de rechercher l’optimisation continuelle.

Les techniques minimalistes avancées

Adoptez une tenue unique

Bien connu par certains grands entrepreneurs comme Steve Jobs qui arpentait toujours le même modèle de jean, de pull et de baskets grises, optimiser votre garde-robe pour n’en garder qu’une tenue est une technique avancée chez les minimalistes. Ici, l’effet recherché est un gain de temps et de liberté, en évitant une surcharge mentale liée au choix de votre accoutrement le matin.

Utiliser un organisateur de vie

Le minimaliste aime dégager du temps, mais il est encore plus important de ne pas gâcher celui-ci par la suite. Managez votre temps pour atteindre vos objectifs. Si vous en ressentez le besoin, en dehors d’un bon vieil agenda pour vos rendez-vous, vous pouvez faire le choix d’utiliser un organisateur de vie comme Notion pour pousser l’expérience encore plus loin.

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